MODERATOR
Učlanjen(a)
06.07.2010
Poruka
30.267
"Sometime Lovin'"

"Sometime Lovin'"


I don't want your sometime lovin'
That falls like summer rain
As I slept through too long winters
And love's been where my head has lain

When you've travelled, the fair north wind
Blowing on your window pane
When you've found the warmth she brings you
Come find me once again

And when you've seen a hungry grassland
Reach out to kiss the rain
When you've seen how strong her kiss is
Come and kiss me once again

And when the earth has turned her seasons
And her love has brought the grain
If you find that love inside you
Come and live with me again
 
MODERATOR
Učlanjen(a)
06.07.2010
Poruka
30.267
"Sorry"

"Sorry"


Il pleut sur l'Estérel
Mais ça ne compte pas
Je marche dans le ciel
Because I love you
Je n' sais plus qui je suis
Mais entre moi et moi
C'est le jour et la nuit
Because I love you

Sorry
Pardon de t'aimer comme un fou
Sorry
Pardon de ne penser qu'à nous
Sorry
Désolé d'être déboussolé
Par toi
Sorry
Désolé d'être à tes genoux
Sorry
De voir en toi la fin de tout
Sorry
Je laisse ma tendresse parler
Pour moi

Le vent chante en anglais
Et les oiseaux en vers
Je change l'heure qu'il est
Because I love you
J'ai une année de moins
À chaque anniversaire
J'aurai vingt ans demain
Because I love you

I'm sorry (Sorry)
Pardon de t'aimer comme un fou
Sorry (Sorry)
Pardon de ne penser qu'à nous
Sorry (Sorry)
Coupable et condamné
Because I love you

Je rêve, je délire
Je souffre et je m'en fous
Je ne veux pas guérir
Because I love you

I'm Sorry
Pardon de t'aimer comme un fou
Sorry
Pardon de ne penser qu'à nous
Sorry
Désolé d'être déboussolé
Par toi
Sorry (Sorry)
Désolé d'être à tes genoux
Sorry (Sorry)
De voir en toi la fin de tout
Sorry (Sorry)
Je laisse ma tendresse parler
Pour moi

(Sorry, sorry
Sorry, I'm sorry)
 
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Učlanjen(a)
06.07.2010
Poruka
30.267
"Sunday Times"

"Sunday Times"


Well, 't was Sunday morning when we met
The streets were still empty and glistening wet
I said "How would you like
To share my Sunday Times?
The way to read a paper is over
Somebody else's shoulder"
You said "Yes", you said "Yes
I'd like to read the Times with you"
And we had tea and Times for two
We went through good times and bad
Side by side and hand by hand
With Times and Sundays flying by
Like paper planes in the summer sky
And Sunday was my favorite day
Until that Sunday you went away
Now you're gone and there's no one
To talk about elections with
And argue over sections with

It's Sunday morning, Sunday blue
Got piles of old papers full of bad news
And I won't get out of bed
Until the sun has set
I've read the editorial, the weekend reviews
But I can't get through all the rest of the news
'Cause now you're gone, now you're gone
I think of you between the lines
And I can't get through the Sunday Times
 
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Učlanjen(a)
06.07.2010
Poruka
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"Sylvie!"

"Sylvie!"


C'était un soir, un matin peut-être, Sylvie
T'en souviens-tu, Sylvie? Je ne sais plus, Sylvie
C'était l'été, l'automne peut-être, Sylvie
Je n'en sais rien, Sylvie, c'est déjà loin, Sylvie

On perd jusqu'à la mémoire
D'un air que l'on a chanté
Et ton image nous sépare
Des paysages familiers
D'une rivière, d'un banc de square
Et d'une chambre où tu venais

Qui se souvient de nous, Sylvie?
Qui peut penser à nous?
Qui sait encore qu'il y a longtemps
On s'aimait fort, on s'aimait tant?

Mais tout s'efface, tout se remplace, Sylvie
Rêves d'enfants, Sylvie, rêves de grands aussi
Et le bonheur lui-même passe, Sylvie
Comme le temps, Sylvie, comme le vent, Sylvie

On perd jusqu'à la mémoire
D'un air que l'on a chanté
Et cet instant et ce visage
Que l'on voudrait se rappeler
Ne sont que des châteaux de sable
Bientôt la mer va remonter

Qui se souvient de nous, Sylvie?
Qui peut penser à nous?
Qui sait encore qu'il y a longtemps
On s'aimait fort, on s'aimait tant?

Mais on s'est sans doute fait des promesses, Sylvie
T'en souviens-tu, Sylvie? Je ne sais plus, Sylvie
Amour d'un jour, amour de jeunesse, Sylvie
Se sont perdus, Sylvie, et tu n'es plus que l'oubli
 
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Učlanjen(a)
06.07.2010
Poruka
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"Taka Takata"

"Taka Takata"


Taka Takata...
J'entends mon cceur qui bat
Taka Takata...
Au rythme de ses pas.

La sangria coulait
A la feria de Tolede
La fille qui dansait
M'etait montee a la tete
Quand un banderillo
M'a dit: "L'ami
reste calme
Care au grand torero
Si tu regardes sa femme!"

Mais ell' s'avance vers moi
Et laiss' tomber sa rose
Avec un billet qui propose
Un rendez-vous a I'ascienda...
On s'etait enlace
Sous I'oranger mais la duena
Dont c'etait le metier
Criait vengeance aux arenes
Le matador trompe
Surgit de I'ombre et s'avance

Moi
sur mon oranger

J'essaie de faire I'orange.

L'homme, tu va payer,Dit-il, voici I'estocade:
Mes picadors sont pretsEt mon ceil noir te regarde!
Et c'est depuis ce jour
Qu'un torero me condamne
A balayer sa cour
Pour I'avoir faite a sa femme.
 
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Učlanjen(a)
06.07.2010
Poruka
30.267
"Tellement Bu, Tellement Fumé"

"Tellement Bu, Tellement Fumé"


Je n'me souviens même pas de la couleur de ses yeux,
Je crois bien qu'ils était verts, j'parie qu'ils étaient bleus.
Je me rappelle seulement que je les aimais,
Tellement bu, tellement fumé.

Dans ma mémoire brouillard, je ne retrouve plus son prénom.
Dans mes idées fumées j'fais à peine son brouillon.
Je n'sais plus c'qu'elle disait, sauf que j'y ai cru,
Tellement fumé, tellement bu.

L'oubli ça tient à quoi?
Des glaçons dans un verre.
Un halo de tabac,
Dansant dans la lumière.
Ça tient à rien du tout, l'oubli,
C'est comme la vie.

Je revois vaguement un studio mal meublé.
Mais qui pourrait me dire la couleur du papier?
Y avait sûrement un lit, puisqu'on s'est aimé,
Tellement bu, tellement fumé.

L'oubli ça tient à qui?
Une inconnue qui passe.
Qui s'égare une nuit,
Au fond de mon impasse.
L'oubli ça tient à rien du tout,
Mais pas à nous.

Une fugue en Normandie, pour arroser le beau temps.
Un retour à Paris, je n'sais plus trop comment.
Sauf la vague impression que c'était foutu.
Tellement fumé, tellement bu.

Qu'est-ce que je suis con d'avoir déchiré sa photo.
J'aimerais bien la revoir, j'ai plus son numéro.
De toute façon je n'sais plus téléphoner.
Tellement bu, tellement fumé.
 
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Učlanjen(a)
06.07.2010
Poruka
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"The Guitar Don't Lie (Le Marché Aux Puces)"

"The Guitar Don't Lie (Le Marché Aux Puces)"


He sits all alone playing his guitar
Out in the back of a little cafe.
And no one seems to hear so he closes his eyes
And just lets the music take him away.

Singing songs of love, songs of broken hearts.
And he's worn out his luck and his last pair of jeans,
But you keep going on when you're living on dreams,
And you feel it inside, and the guitar don't lie.

There's a lady he knows who often comes by,
She’s a nice little girl and she's into the blues.
The request is the same song every night,
She says it reminds her of someone she knew.

A trace of her perfume floats across the room.
Once they were close and they shared all their dreams,
But now all he feels is a physical thing.
They grew slowly apart, and the guitar don't lie.

Some nights it gets cold and it makes him aware
That time's moving on and it's slipping away.
And if you look close at his dark curly hair,
Under the lights there are traces of gray.

He knows what it's all about feeling down and out.
'Cause he's been there before and he's seen it all,
And you learn to survive with your back to the wall.
It's a crazy old life, and the guitar don't lie.
 
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Učlanjen(a)
06.07.2010
Poruka
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"The Last Thing On My Mind"

"The Last Thing On My Mind"


It's a lesson too late for the learning
Made of sand, dear, made of sand
In the wink of an eye my soul is turning
In your hand, dear, in your hand

Are you going away with no word of farewell?
Will there be not a trace left behind?
I could have loved you better
I didn't mean to be unkind
You know that was the last thing on my mind

You've got reasons a plenty for going
This I know, dear, this I know
For the weeds have been steadily growing
Please don't go, please don't go

Are you going away with no word of farewell?
Will there be not a trace left behind?
I could have loved you better
I didn't mean to be unkind
You know that was the last thing on my mind

As I lay in the bed every morning
Without you, dear, without you
Every song in my breast dies aborning
Without you, without you

Are you going away with no word of farewell?
Will there be not a trace left behind?
I could have loved you better
I didn't mean to be unkind
You know that was the last thing on my mind
 
MODERATOR
Učlanjen(a)
06.07.2010
Poruka
30.267
"Toi, Le Refrain De Ma Vie (Tell Me To My Face)"

"Toi, Le Refrain De Ma Vie (Tell Me To My Face)"


J'ai gravé quelques cœurs sur quelques arbres
Sur du sable, sur du marbre
Sur des coins de tables d'écoliers
J'ai cru en presque toutes mes histoires
A des amours derisoires
Qui ne passaient même pas l'été

Mais c'était de toi que je rêvais
C'était de toi que je brûlais mes nuits
Je changeais sans cesse les couplets
Mais c'était toi le refrain de ma vie

J'ai gravé quelques cœurs dont il ne reste
Le plus souvent que la flèche
Qu'un peu d'amertume ou de remords
La veille au soir on lui a dit: "Je t'aime"
Le matin on ne sait même
Plus le prénom de celle qui dort

Mais c'était de toi que je rêvais
C'était de toi que je brûlais mes nuits
Je changeais sans cesse les couplets
Mais c'était toi le refrain de ma vie

Je ne rêve plus tu es bien là
Mais je continue à rêver de toi

Il est fini le temps des aventures
Des conquêtes, des ruptures
Des carnets d'adresses bien remplis
Le temps des pleurs au bout du téléphone
Le temps des retours d'automne
Il n'est pas perdu puisqu'aujourd'hui

Je vois bien que mon rêve était vrai
Que c'était toi dont je brûlais mes nuits
Je changeais sans cesse les couplets
Mais c'était toi le refrain de ma vie

Je ne rêve plus tu es bien là
Et je continue à rêver de toi
 
MODERATOR
Učlanjen(a)
06.07.2010
Poruka
30.267
"Ton Côté Du Lit"

"Ton Côté Du Lit"


De ces draps que je froisse au lieu de t'y trouver
Où je voudrais t'étreindre au lieu de t'y rêver
De ce café médiocre auquel tu n'applaudis
Plus jamais quand parfois je me le réussis
De mes grains de folie qui s'égrènent en vain
De l'eau que je ne mets plus jamais dans mon vin
De toutes ces martiennes qui débarquent ici
Et qui osent dormir de ton côté du lit
De ton côté du lit, de ton côté du lit

De cet amour déjà fini, fini
Et qui pourtant n'en finit pas
Délivre-moi

De toutes ces chansons, stupides et inodores
Qui me feraient pleurer si je savais encore
De ces visages entr'aprecus dans le métro
Et qui m'ont fait courir cent fois comme un idiot
De ces lettres de toi que je ne relis plus
Mais que je sais par cœur tant je les ai relues
De celle qui déjà est sûre que je t'oublie
Et qui ose dormir de ton côté du lit
De ton côté du lit, de ton côté du lit

De cet amour déjà fini, fini
Et qui pourtant n'en finit pas
Délivre-moi

De rien de tous ces mots qui me feraient rougir
Si la honte et l'amour étaient faits pour s'unir
De ces cris de bonheur que j'ai trop étouffés
De tous ces souvenirs que nous avons ratés
De ces insultes mêmes et toute cette boue
Dont je t'ai maquillé lorsque j'étais à bout
De ton ombre immobile qui mange ma vie
Et qui ose dormir de ton côté du lit
De ton côté du lit, de ton côté du lit.

De cet amour déjà fini, fini
Et qui pourtant n'en finit pas
Délivre-moi
Délivre-moi ...
 
Natrag
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